Przykład korekty
Korekta praca dyplomowa po francusku dokonana przez francuskiego "Native speaker"
Prawidłowe zrozumienie tekstu uzależnione jest od jego opracowania.
Grammaire
Les principaux problèmes rencontrés concernent:
- L'utilisation des articles définis, indéfinis, partitifs
- La confusion entre l'appartenance et le type ( la voiture de la société et une voiture de société)
- L'utilisation des prépositions et leur fonction
- Les pronoms COD et COI
- La concordance des temps
- les hypothèses et leur application
- etc...........
Vocabulaire
En général le vocabulaire est assez riche mais attention:
- Aux faux amis, des mots qui existent dans les deux langues mais qui n'ont pas toujours le même sens.
- Beaucoup de mots de mots et de verbes en français ont plusieurs sens et s'utilisent dans des contextes différents, attention aux traductions intégrales qui peuvent provoquer des non-sens.
- Il y a en français un lexique idiomatique dont il faut tenir compte.
- etc....
Syntaxe et terminologie
C'est la principale source d'erreur nécessitant la plupart du temps une réécriture. En effet, rédiger en français dans des structures de phrases polonaises fonctionne difficilement et donne un document en français difficilement compréhensible. A ceci, peut s'ajouter des répétitions abusives, ce qui nous donne au final une rédaction qui n'est pas toujours claire, correcte, concise, exacte et cohérente.

Version originale
Bien que la BD soit considérée comme un médium mineur elle peut fonctionner bien en classe de français langue étrangère. En Pologne, elle est présentée dans les manuels de français et constitue une source motivant didactiquement.
Version originale
Chaque dialecte constitue un vaste réservoir de la connaissance du passé, de la culture, de la tradition et des mœurs, il est aussi un élément important de l'identité régionale. Les dialectes se formaient depuis toujours de façon naturelle. Primitivement, chaque tribu habitant un certain territoire, possédait son propre dialecte et créait ainsi une zone dialectale. Les échanges entre ces zones étaient faibles donc les différences linguistiques se sont graduellement creusées.
Version originale
- Contexte historique
1.1. Lendemain de la Deuxième Guerre mondiale
En mai 1945, l’Allemagne annonce sa capitulation. La Deuxième Guerre mondiale prend sa fin. La Pologne sort de cette période de presque 6 ans de la terreur comme un pays très affaibli qui, à côté d’immenses pertes matérielles, souffre de celle des citoyens. Elle a perdu environ 7,6 millions des citoyens. C’étaient les morts à cause des opérations militaires, de l’extermination par les nazis et des déportations en URSS. Le groupe social le plus décimé par les envahisseurs était l’intelligentsia avec bilan des pertes suivant : 30 % des scientifiques, 57 % des avocats, 40 % des médecins, 20 % des magistrats et enseignants. Nombreux sont ceux qui se sont décidés à quitter la Pologne pendant l’occupation et, souvent, ne sont jamais revenus.
Correction proposée
Bien que la BD soit considérée comme un « art mineur », c’est un très bon support pédagogique pour les classes de français langue étrangère. En Pologne, elle est présente dans les manuels de français et constitue une source didactiquement motivante.
Correction proposée
Chaque dialecte est un vaste réservoir contenant la connaissance du passé, la culture, la tradition et les mœurs, étant de ce fait un élément important de l'identité régionale. Les dialectes se formaient depuis toujours de façon naturelle. Primitivement, chaque tribu habitant un territoire donné, possédait son propre dialecte et créait ainsi une zone dialectale. Les échanges entre ces zones étaient faibles donc un fossé entre ces différences linguistiques s’est graduellement creusé.
Correction proposée
Le contexte historique
- Au lendemain de la Deuxième Guerre mondiale
En mai 1945, l’Allemagne annonce sa capitulation. La Deuxième Guerre mondiale prend fin. La Pologne sort de cette période de presque 6 ans de terreur en étant très affaiblie, en effet le pays souffre d’immenses pertes matérielles, mais également humaines. Elle a perdu environ 7,6 millions de citoyens. Ce furent des morts causés par des opérations militaires, des exterminations par les nazis et des déportations en URSS. Le groupe social le plus décimé par les envahisseurs a été l’intelligentsia avec un bilan des pertes s’élevant à : 30 % des scientifiques, 57 % des avocats, 40 % des médecins, 20 % des magistrats et enseignants. Nombreux sont ceux qui ont décidé de quitter la Pologne pendant l’occupation et, qui souvent, ne sont jamais revenus.